Image et estime de soi

Image et estime de soi

Image et estime de soi

Nous connaissons tous l’histoire de Narcisse et sa morale.
Narcisse aimait tant son image, qu’il finit par se noyer dans un étang à force d’y admirer son reflet.

Se préoccuper et soigner notre image physique n’est pas toujours bien perçu.
Apprécier notre image physique contribue pourtant au bien-être psychologue, à notre relation aux autres et au monde et donc, améliore notre niveau de bonheur
L’image physique fait partie intégrante de notre identité et la représentation que l’on s’en fait suit le même chemin que la construction de cette dernière, appelée aussi : « image de soi ».

Comment se construit l’ « image de soi » ?

La construction de notre identité est un processus psychologique fondamental sur lequel va s’édifier notre personnalité et parfois, l’ensemble de notre vie.
Nous disposons tous d’un bagage initial, de dispositions affectives, dès notre naissance, qui vont réagir et évoluer dans la rencontre avec notre environnement. Les processus consécutivement mis en place auront des aspects positifs ou/et négatifs, selon les rencontres et les expériences. Mais ils dépendront également de notre bagage initial.
L’émergence de l’individualité, la construction de l’image de soi et le développement de l’estime de soi, sont les trois étapes constitutives de notre identité.

La première étape, l’émergence de l’individualité, apparaît dans l’enfance lorsque le petit enfant découvre qu’il n’est pas le prolongement de ses parents mais un être à part entière. Il se découvre et s’observe, sans jugement.
L’image de soi est, elle, la résultante de la confrontation entre le sentiment d’individualité, les attentes du monde extérieur et son propre idéal. Une dimension fondamentale de cette construction est le regard que les autres nous portent et les messages identitaires que nous recevons, qu’ils soient familiaux, sociaux, professionnels ou scolaires. En termes simples, elle est la résultante de ce que nous voyons (ou croyons voir) dans le miroir, de ce que le autres nous disent de nous et de ce que nous aimerions devenir (ou pensons être capables de réaliser).
L’estime de soi est le jugement que nous portons sur nous-même de manière générale, et sur notre image physique, en particulier.
Elle est une évaluation de nous-même, en quelque sorte, une échelle personnelle de valeur, constituée par rapport à l’idéal que nous aimerions atteindre.

L’estime de soi est une donnée totalement subjective et peu affectée par le jugement des autres.
Pour que l’estime de soi soit constructive pour l’identité, il est important que le décalage entre la réalité et le jugement porté à notre image ne soit pas trop grand.

Aime-toi, les autres t’aimeront

Parmi les personnes que j’accompagne, beaucoup ont une faible estime d’elles-mêmes, certaines cherchent simplement une adéquation avec leur environnement professionnel, d’autres sont résolument à la recherche de l’expression de leur identité profonde à travers leur image physique.
Chaque personne est unique et a besoin d’une réponse sur-mesure. Travailler sur l’image physique, particulièrement avec le travail photographique, permet de réconcilier la réalité et l’image intérieure construite et de se rapprocher de son idéal.
Mes années d’expérience confirment l’idée que la beauté physique n’existe pas en tant que telle. Cependant, le rayonnement découlant d’une estime de soi lucide, positive et bienveillante rend heureux celui dont il émane de même que son entourage, et produit un effet d’attraction indéniable.
Une estime de soi positive est un facteur essentiel d’équilibre psychologique et un moteur de réussite dans la vie car elle comporte une dimension essentielle : la croyance dans la possibilité d’être aimé.

Traitez-vous avec bienveillance, prenez soin de vous et osez être heureux!

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Nous connaissons tous l’histoire de Narcisse et sa morale.
Narcisse aimait tant son image, qu’il finit par se noyer dans un étang à force d’y admirer son reflet.

Se préoccuper et soigner notre image physique n’est pas toujours bien perçu.
Apprécier notre image physique contribue pourtant au bien-être psychologue, à notre relation aux autres et au monde et donc, améliore notre niveau de bonheur
L’image physique fait partie intégrante de notre identité et la représentation que l’on s’en fait suit le même chemin que la construction de cette dernière, appelée aussi : « image de soi ».

Comment se construit l’ « image de soi » ?

La construction de notre identité est un processus psychologique fondamental sur lequel va s’édifier notre personnalité et parfois, l’ensemble de notre vie.
Nous disposons tous d’un bagage initial, de dispositions affectives, dès notre naissance, qui vont réagir et évoluer dans la rencontre avec notre environnement. Les processus consécutivement mis en place auront des aspects positifs ou/et négatifs, selon les rencontres et les expériences. Mais ils dépendront également de notre bagage initial.
L’émergence de l’individualité, la construction de l’image de soi et le développement de l’estime de soi, sont les trois étapes constitutives de notre identité.

La première étape, l’émergence de l’individualité, apparaît dans l’enfance lorsque le petit enfant découvre qu’il n’est pas le prolongement de ses parents mais un être à part entière. Il se découvre et s’observe, sans jugement.
L’image de soi est, elle, la résultante de la confrontation entre le sentiment d’individualité, les attentes du monde extérieur et son propre idéal. Une dimension fondamentale de cette construction est le regard que les autres nous portent et les messages identitaires que nous recevons, qu’ils soient familiaux, sociaux, professionnels ou scolaires. En termes simples, elle est la résultante de ce que nous voyons (ou croyons voir) dans le miroir, de ce que le autres nous disent de nous et de ce que nous aimerions devenir (ou pensons être capables de réaliser).
L’estime de soi est le jugement que nous portons sur nous-même de manière générale, et sur notre image physique, en particulier.
Elle est une évaluation de nous-même, en quelque sorte, une échelle personnelle de valeur, constituée par rapport à l’idéal que nous aimerions atteindre.

L’estime de soi est une donnée totalement subjective et peu affectée par le jugement des autres.
Pour que l’estime de soi soit constructive pour l’identité, il est important que le décalage entre la réalité et le jugement porté à notre image ne soit pas trop grand.

Aime-toi, les autres t’aimeront

Parmi les personnes que j’accompagne, beaucoup ont une faible estime d’elles-mêmes, certaines cherchent simplement une adéquation avec leur environnement professionnel, d’autres sont résolument à la recherche de l’expression de leur identité profonde à travers leur image physique.
Chaque personne est unique et a besoin d’une réponse sur-mesure. Travailler sur l’image physique, particulièrement avec le travail photographique, permet de réconcilier la réalité et l’image intérieure construite et de se rapprocher de son idéal.
Mes années d’expérience confirment l’idée que la beauté physique n’existe pas en tant que telle. Cependant, le rayonnement découlant d’une estime de soi lucide, positive et bienveillante rend heureux celui dont il émane de même que son entourage, et produit un effet d’attraction indéniable.
Une estime de soi positive est un facteur essentiel d’équilibre psychologique et un moteur de réussite dans la vie car elle comporte une dimension essentielle : la croyance dans la possibilité d’être aimé.

Traitez-vous avec bienveillance, prenez soin de vous et osez être heureux!

Portrait proProfessional portrait

Portrait pro

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Good Morning GenèveGood Morning Genève


Yes FM
Nathalie Egea est l’invitée du Good Morning Genève sur YesFM et nous parle de son approche du conseil en image.

Yes FM
Nathalie Egea est l’invitée du Good Morning Genève sur YesFM et nous parle de son approche du conseil en image.

Déshabillez-moi

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« La psychanalyse, c’est pas mon truc…! » Combien de fois mon entourage m’a-t-il entendu répéter cette phrase?! Tant et plus.

Ayant une approche radicalement « de terrain » et orientée « efficacité », le discours psychanalytique sur le-sens-profond-que-peut-revêtir-(pas mal non?)-telle-ou-telle-action-liée-à-un-traumatisme-vécu-dans-l’enfance-et-tout-cela-ramenant-(mesdames)-à-un-manque-morphologique-d’une-certaine-extension-(merci Sigmund…): Non, c’est pas mon truc.

Mais voilà, au détours de mes recherches livresque de mode, je suis tombée sur cet ouvrage de Catherine Joubert et Sarah Stern : Déshabillez-moi, psychanalyse des comportements vestimentaires, Hachette, 2005. Et je l’ai lu. Et j’ai aimé. Bon, pas tout, il ne faut pas pousser tout de même! Disons que l’ouvrage donne quelques clé assez pertinentes sur le sens qu’a l’habillement dans nos vies. Comment il souligne l’appartenance à un groupe, renforce l’identité personnelle et participe à l’écriture de notre histoire individuelle et collective.

Joli ouvrage, donc, frais et digeste qui m’amène à nuancer mon jugement. La psychanalyse, pour amener un éclairage différent sur un sujet comme celui-ci ? Mouais, pourquoi pas !Attachment-1

L’Etoffe du Diable

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Aimez-vous les rayures? Régulièrement, mais brièvement, les créateurs nous proposent des tenues arborant ce motif. Qu’il s’agisse d’une marinière ou d’une robe exubérante et graphique, les rayures nous font toujours un effet étrange. Partagée entre l’extase et l’incrédulité, je me suis penchée sur le sujet…

… et découvert que Michel Pastoureau, historien des couleurs et expert en héraldique et symboles lui a consacré un ouvrage : L’Etoffe du Diable, édité chez Points en 1991 (ISBN 2-20-061198-8).

Historiquement, la rayure est la marque des marginaux. Elle distingue et rend voyant. Les étoffes rayées sont longtemps restées en Occident des marques d’exclusion ou d’infamie. Puis, évolution étrange, elles deviennent positives et liées aux idées de liberté, de jeunesse et de progrès.

La rayure  crée le trouble en ne distinguant pas le fond du motif, alternant ombre et lumière… Alfred Hitchcock, pour qui ces dernières avaient peu de secrets, a consacré à ce thème une oeuvre : Spellbound (La Maison du docteur Edwards), tourné en 1945. « A voir ce film » commente M. Pastoureau dans son ouvrage, « on sent pleinement et combien l’univers des rayures peut être un univers inquiétant, assourdissant, aliénant, à force de répéter les mêmes alternances de séquences bichromes. Toute rayure est un rythme, une musique même, et, comme toute musique, elle peut, au-delà de l’harmonie et du plaisir, déboucher sur le vacarme, la déflagration puis la folie ».

Aujourd’hui liées à la mer, au sport mais également aux prisonniers ou à la pègre, elles sont intégrées dans notre quotidien et semblent y trouver leur(s) place(s).

Donc, les rayures, oui, mais avec finesse et parcimonie pour la discrétion ou exubérance et démesure pour rendre votre interlocuteur fou… de vous!photo

Le vêtement… interface entre la personne et le monde

Tribune de Genève
On en parle

Ne dit-on pas «A quelque chose malheur est bon»? Nul n’osera remercier ceux qui ont volé la remorque de Nathalie Egea en 2010, mais le triste événement a constitué «un réel tournant» dans la vie de la créatrice. «Elle contenait tout mon stock. C’était à quelques semaines du marché de Noël de Carouge où je faisais le gros de mon chiffre d’affaires annuel, se souvient-elle. J’ai tout perdu. Mais c’est à ce moment que je me suis dit: lance-toi.» Depuis, l’importatrice de soie a quitté son stand «entre les salades et les choux-fleurs» du marché de Carouge. On l’aperçoit dans les galeries branchées de la ville au contact de cette tribu qu’on nomme «les créateurs». Le milieu a changé, mais la fibre reste la même. «La soie a une aura magique. Elle tient chaud quand il fait froid et rafraîchit quand il fait chaud. J’aime sa manière de grincer et d’absorber la lumière. Vous savez, je parle à mes tissus», dit-elle dans un grand éclat de rire.

Faiseuse de style à 50%
Comment peut-on tomber amoureux d’une étoffe? A 20 ans, après «une adolescence pas rebelle du tout», la jeune fille décide de s’aventurer à Calcutta, en Inde. Le choc est brutal. Quelques heures, ou presque, après son arrivée sur le tarmac, l’aventurière tombe malade et se déshydrate au point de devoir être rapatriée en Suisse sur une chaise roulante.
«En rentrant, je me suis dit: je ne me laisserai pas faire. Alors j’y suis retournée.» Lors de ses multiples allers-retours, elle découvre ces tissus capables d’exalter sa créativité. Et une femme – fait rare dans ce pays patriarcal – aux commandes d’une soierie.
Pendant huit ans, Nathalie Egea va vendre ses tissus au mètre sur les étales carougeois. En parallèle, elle crée des collections dans une relative discrétion. Jusqu’à ce mois de novembre 2010 et à cette remorque emportée, à l’origine du revirement de carrière.
Aujourd’hui, Nathalie Egea est donc passée du statut de vendeuse ambulante à celui de styliste confirmée. Un grand
pas pour celle qui n’a pas emprunté le chemin classique des créateurs, à savoir la Haute Ecole d’art et de design (HEAD).
«A vrai dire, j’ai toujours cousu, mais il m’a fallu du temps avant d’oser proposer les choses que je fabrique», raconte cette mère de famille trentenaire. Dans l’atelier qu’elle a créé à son domicile de Croix-de-Rozon,
entre les kilomètres de soie, de futures mariées exigeantes ou des clients en quête de «conseils en image» se
succèdent. Car la styliste consacre la moitié de son temps à «relooker» ceux qui en ressentent le besoin. «Il y a l’homme qui a perdu 75 kilos après la pose d’un bypass ou la femme qui souhaite se réinventer après trente ans de mariage», explique-t-elle. Et qu’on ne vienne pas lui dire que l’activité est futile ou artificielle. «Le
vêtement est une expérience sensuelle, l’interface entre la personne et le monde.
C’est une question d’identité», assure t-elle. Mais Nathalie Egea ne sacrifiera pas la douceur de la soie. Elle est (encore) la matière première de sa troisième collection.
Une cuvée particulière. «Cette fois, c’est juste pour l’expression. Je me radicalise dans la création, je travaille comme un artiste travaille son tableau», lance la styliste. Comprenez: vous aurez du mal à porter ses créations chez votre belle-mère après la messe du dimanche.

Hommage aux femmes
Pour mettre en valeur tout cela, un film est en préparation. Elle compte alors sur une plateforme de crowdfunding (financement par les internautes) afin de mobiliser les sommes nécessaires. Quel que soit le résultat, l’expérience est nouvelle et sert un combat qui lui tient à cœur. «Je voulais créer une image porteuse pour ces femmes libres et courageuses. C’est mon moyen de dire: «Soyez fières Mesdames!»

Les Samedis du Coaching

LongLife Magazine
Les Samedis du Coaching

Initiés en 2009 par Fabienne Revillard, coach et formatrice, les Samedis du Coaching se veulent une permanence mensuelle, conviviale et regroupant des coachs bénévoles triés sur le volet. Chaque mois un thème différent avec un nouvel invité star, entouré d’une équipe régulière, répondant aux thèmes habituels de coaching (professionnel ou personnel). Le 29 septembre, focus sur le coaching en décoration d’intérieur avec AnneLaure Ferry-Adam et sur l’image de soi avec Nathalie Egea.
Le coaching sur objectifs professionnels et le coaching personnel y seront également traités avec Marie-Laure Ferretti, Raluca Balan et Fabienne Revillard.

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